jeudi 21 janvier 2010 par Catherine Nohales
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C’est qu’il n’y va pas de main morte, Gérard Mordillat, dans cette truculente autobiographie !
Ce Paris populaire du XXème arrondissement est gouailleur, tendre et mélancolique. On rit à chaque ligne, à chaque page dont certaines sont émaillées de scènes d’anthologie.
Cette autobiographie est notamment un véritable festival de bons mots contre la religion. Rue des Rigoles est un texte poétique qui nous offre un florilège d’expressions toutes plus drôles les unes que les autres.
Ce Paris d’antan a désormais disparu mais il demeure dans les mémoires.
C’est une très belle autobiographie, un très bel hommage à une époque révolue.
Je suis ravie d’avoir découvert par hasard ce beau texte.
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