Gallimard 2005
lundi 11 juillet 2005 par Henri GabryszUn roman qui commence à la page 13, ça risque de craindre
en plus ça s’intitule La Salamandre
hum La Salamandre, l’auteur explique que cet animal vit dans le feu !
il restait pas moins de 187 autres pages pour distiller tout le malheur du
monde jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à la lie
certains mots rares, bien sûr on est au Brésil, où il y a du bois rare
Jean-Christophe rufin avec La Salamandre , il réussit à vider la fiole du
malheur tout le long de ces 187 pages, il la vide au compte gouttes
par contre, JC Rufin bien sûr, le plus grand mérite de son roman est de nous
épargner le prix du voyage au Brésil. Rufin devrait demander au gouvernement
de gauche de ce maudit pays de merde au moins la rançon, sinon un
pourcentage perçu du ministère du tourisme de ce pays merdique peuplé de
bâtards de nègres et de mulâtres et de négresses et de mulâtresses
d’ailleurs Rufin ne se gêne jamais pour décrire le Brésil comme le fruit des
négros, des gros culs et des grosses bites et des grosses voix qui chantent
et des grosses fesses se trémoussant et suintant
d’ailleurs le Brésil c’est l’envers du monde et surtout de la France
en 187 pages on assiste à la désintégration d’une Catherine ( y aurait-il un
rapport avec C Millet ?) D’une bonne petite françousse même pas bourgeoise,
même pas issue classe sociale supérieure, pourtant qui s’est haussée dans la
société.... d’une bonne petite femme française
mais trêve de balivernes.... il faut c’est impératif LIRE La Salamandre de
Rufin
jusqu’à la lie
H Gabrysz
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