Dans la traduction d’une langue a une autre , faut-il s’étonner qu’il y ait inévitable trahison du corps spéciphique que constitue chaque langue quand l’écriture elle-même est trahison du corps de "l’aimée" ( pris au sens élargi puisque ce corps peut tout aussi bien être celui d’une pensée , d’une durée , d’une vision , etc) ? Est-ce Eurydice qu’Orphée remonte des enfers où la trahison d’Eurydice ...?
Dans la traduction d’une langue a une autre , faut-il s’étonner qu’il y ait inévitable trahison du corps spéciphique que constitue chaque langue quand l’écriture elle-même est trahison du corps de "l’aimée" ( pris au sens élargi puisque ce corps peut tout aussi bien être celui d’une pensée , d’une durée , d’une vision , etc) ? Est-ce Eurydice qu’Orphée remonte des enfers où la trahison d’Eurydice ...?