Vous parlez de Victor Hugo, c’est un exemple intéressant, quand on lit les Misérables n’a-t-on pas fortement envie de sauter les chapîtres politiques, apportent-ils vraiment quelque chose au roman ? ou au contraire le roman ne gagnerait-il pas en cohésion si on les supprimait ? Le propos politique peut exister dans un roman bien évidemment mais doit-il s’affirmer hors du champ proprement romanesque ? ...
Vous parlez de Victor Hugo, c’est un exemple intéressant, quand on lit les Misérables n’a-t-on pas fortement envie de sauter les chapîtres politiques, apportent-ils vraiment quelque chose au roman ? ou au contraire le roman ne gagnerait-il pas en cohésion si on les supprimait ? Le propos politique peut exister dans un roman bien évidemment mais doit-il s’affirmer hors du champ proprement romanesque ? ...