Dans le monde littéraire, gravite une grande quantité de baudruches qu’il serait agréable et utile de dégonfler.
Mais que dire de la Toile Internet ? C’est le royaume des grenouilles qui veulent être plus grosses que le bœuf !
De minables besogneux se prennent pour de vrais écrivains parce qu’ils ont réussi à aligner quelques phrases correctes applaudies par d’autres scribouilleurs. Certains iront jusqu’à payer, cher parfois, pour être édités par une obscure maison mercantile et heureuse de l’aubaine. On flatte un peu leur ego surdimensionné et ils sont prêts à vider leurs poches et bas de laine pour se voir… en bas de l’affiche, quand ils y sont !
Peu de philanthropes dans ce monde de l’édition.
D’autres encore s’imaginent écrivains parce qu’ils ont la volonté de le devenir, la volonté d’écrire chaque jour, consciencieusement, avec application, comme pour un devoir d’écolier. Ils imaginent un avenir, une carrière, le pactole, la gloire, l’immortalité parce qu’ils le veulent.
Que penserions-nous de celui qui veut être beau ou intelligent ou plus grand ? Et qui croit qu’il y parviendra par sa ténacité ? La volonté ici ne suffit pas, ô doux illuminés !.
On aurait envie de les tirer par la manche et de les mettre en garde contre l’utopie de se faire un nom, une réputation, du fric en écrivant. Il y en a qui y arrivent bien sûr, mais si peu à l’arrivée !
On aurait envie de leur dire « restez modestes et contentez-vous de l’immense plaisir d’écrire et de partager votre passion avec les autres obscurs ».
Dans le monde littéraire, gravite une grande quantité de baudruches qu’il serait agréable et utile de dégonfler.
Mais que dire de la Toile Internet ? C’est le royaume des grenouilles qui veulent être plus grosses que le bœuf !
De minables besogneux se prennent pour de vrais écrivains parce qu’ils ont réussi à aligner quelques phrases correctes applaudies par d’autres scribouilleurs. Certains iront jusqu’à payer, cher parfois, pour être édités par une obscure maison mercantile et heureuse de l’aubaine. On flatte un peu leur ego surdimensionné et ils sont prêts à vider leurs poches et bas de laine pour se voir… en bas de l’affiche, quand ils y sont !
Peu de philanthropes dans ce monde de l’édition.
D’autres encore s’imaginent écrivains parce qu’ils ont la volonté de le devenir, la volonté d’écrire chaque jour, consciencieusement, avec application, comme pour un devoir d’écolier. Ils imaginent un avenir, une carrière, le pactole, la gloire, l’immortalité parce qu’ils le veulent.
Que penserions-nous de celui qui veut être beau ou intelligent ou plus grand ? Et qui croit qu’il y parviendra par sa ténacité ? La volonté ici ne suffit pas, ô doux illuminés !.
On aurait envie de les tirer par la manche et de les mettre en garde contre l’utopie de se faire un nom, une réputation, du fric en écrivant. Il y en a qui y arrivent bien sûr, mais si peu à l’arrivée !
On aurait envie de leur dire « restez modestes et contentez-vous de l’immense plaisir d’écrire et de partager votre passion avec les autres obscurs ».