Le tableau est largement assez sombre sans qu’il soit utile de l’assombrir encore !
Qu’est-ce que cette notion de livre mort né ?
S’il est vrai qu’un livre aura les plus grandes difficultés à trouver un large public, il n’en reste pas moins que tout éditeur honnête fera en sorte qu’un livre publié soit présenté correctement au distributeur avec lequel il travaille. C’est toute la différence avec l’éditeur à compte d’auteur qui ne présente pas ses productions aux distributeurs.
Certes à l’arrivée, ce seront en général 500 ou mille exemplaires qui seront vendus au mieux. Et alors ?
Si les écrivains aspirants rêvent de fortune qu’il jouent au Loto, leur chances seront plus larges !!!
Et puis trève de plaisanterie, je connais bien des débutants qui seraient fous de joie à l’idée d’un OUI d’une maison d’édition, même modeste, même provinciale...Non ?
Cher Luc,
Le tableau est largement assez sombre sans qu’il soit utile de l’assombrir encore !
Qu’est-ce que cette notion de livre mort né ?
S’il est vrai qu’un livre aura les plus grandes difficultés à trouver un large public, il n’en reste pas moins que tout éditeur honnête fera en sorte qu’un livre publié soit présenté correctement au distributeur avec lequel il travaille. C’est toute la différence avec l’éditeur à compte d’auteur qui ne présente pas ses productions aux distributeurs.
Certes à l’arrivée, ce seront en général 500 ou mille exemplaires qui seront vendus au mieux. Et alors ?
Si les écrivains aspirants rêvent de fortune qu’il jouent au Loto, leur chances seront plus larges !!!
Et puis trève de plaisanterie, je connais bien des débutants qui seraient fous de joie à l’idée d’un OUI d’une maison d’édition, même modeste, même provinciale...Non ?