Quand on pense qu’en Belgique une jeune fille avait envoyé récemment à de grandes maisons d’édition françaises une partie du manuscrit du Chant de Maldoror (Lautréamont) sans citer le nom de l’auteur et en se faisant passer pour l’auteur du texte, on peut douter du sérieux dans le monde de l’édition dans la mesure où ce manuscrit fut refusé partout et même pas reconnu sauf par Gallimard !!!
Quand on pense qu’en Belgique une jeune fille avait envoyé récemment à de grandes maisons d’édition françaises une partie du manuscrit du Chant de Maldoror (Lautréamont) sans citer le nom de l’auteur et en se faisant passer pour l’auteur du texte, on peut douter du sérieux dans le monde de l’édition dans la mesure où ce manuscrit fut refusé partout et même pas reconnu sauf par Gallimard !!!