Je suis contre. La littérature comme produit marketing, ce n’est pas nouveau, c’est sûr mais là, on touche le fond.
Je n’ai pas lu Houellebecq. Je le reconnais. J’ai essayé et je n’ y suis pas arrivée. Hier, dans Vol de nuit, l’émission de notre PPDA national, je l’ai observé. Il s’agaçait de l’enthousiasme contagieux d’ Alexandre Jardin. Il s’ennuyait, Houellebeq. Je n’ai pas pu l’écouter jusqu’au bout parce qu’il ne sait pas captiver.
Je trouve dommage de ne parler que de lui alors qu’il y a tant d’auteurs plus méritants qui rament comme des dingues pour se faire connaître. Quand je pense à Sollers qui veut absolument lui refiler le Goncourt, je me dis que plus rien ne va sur la planète littérature.
Je suis contre. La littérature comme produit marketing, ce n’est pas nouveau, c’est sûr mais là, on touche le fond.
Je n’ai pas lu Houellebecq. Je le reconnais. J’ai essayé et je n’ y suis pas arrivée. Hier, dans Vol de nuit, l’émission de notre PPDA national, je l’ai observé. Il s’agaçait de l’enthousiasme contagieux d’ Alexandre Jardin. Il s’ennuyait, Houellebeq. Je n’ai pas pu l’écouter jusqu’au bout parce qu’il ne sait pas captiver.
Je trouve dommage de ne parler que de lui alors qu’il y a tant d’auteurs plus méritants qui rament comme des dingues pour se faire connaître. Quand je pense à Sollers qui veut absolument lui refiler le Goncourt, je me dis que plus rien ne va sur la planète littérature.
Qu’en pensez-vous ?