> La littérature homosexuelle : vivante ou moribonde ?
8 septembre 2005, 11:16, par marjas
Ce que vous déplorez de la littérature homosexuelle est vrai, Tristano. C’est vrai aussi pour la littérature hétérosexuelle. L’érotisme, le délicat de l’érotisme a été remplacé par la pornographie, le bestial qui ne prêtent pas à rêver. Tout est dit avec les mots les plus crus, les plus sordides, les plus tristes. Impossible de mettre des émotions sur ces mots trop communs, il n’y a aucun art à dire « ces choses-là » avec tant de trivialité.
L’érotisme que vous semblez associer, à mon grand regret, à la pornographie est encore présent dans la toute littérature , y compris la littérature homosexuelle, masculine ou féminine. Cherchez bien !
Sinon, il ne vous reste plus qu’à relire les auteurs que vous avez aimés, nos regards changent avec le temps…
Mais vous ne citez pas « les nourritures terrestres » de Gide…
Ce que vous déplorez de la littérature homosexuelle est vrai, Tristano. C’est vrai aussi pour la littérature hétérosexuelle. L’érotisme, le délicat de l’érotisme a été remplacé par la pornographie, le bestial qui ne prêtent pas à rêver. Tout est dit avec les mots les plus crus, les plus sordides, les plus tristes. Impossible de mettre des émotions sur ces mots trop communs, il n’y a aucun art à dire « ces choses-là » avec tant de trivialité.
L’érotisme que vous semblez associer, à mon grand regret, à la pornographie est encore présent dans la toute littérature , y compris la littérature homosexuelle, masculine ou féminine. Cherchez bien !
Sinon, il ne vous reste plus qu’à relire les auteurs que vous avez aimés, nos regards changent avec le temps…
Mais vous ne citez pas « les nourritures terrestres » de Gide…