Marie Agnès vous dit qu’elle a été éditée, mais ne vous a pas précisé qu’elle mode d’édition elle avait choisi !
Je partage pleinement son point de vu ! S’il fallait s’arrêter à ce que l’intelligenzia littéraire nomme "les talent de l’écriture" nous en serions encore à rédiger nos plus belle oeuvre en latin !
Hors Rabelais a boulversé cet ordre des choses en affirmant qu’il ferait paraître combien le français pouvait produire d’aussi beaux écrits que le le latin ou le grc !
Il faut signaler que le français de Rabelais ne ressemble plus guère au français actuel. Ce qui prouve que notre langue évolue. mais alors pourquoi de tous temps devons nous croiser des "gens" qui se posent en gendarme du "BIEN ECRIT" ?
En outre le métier d’éditeur à réellement était inventé au 19èeme siècle, ce n’est rien qu’en fait qu’un intermédiaire qui déjà à l’époque de Jules Vernes n’avait qu’une idée en tête, faire du chiffre.
Si Jules Vernes a consenti en ce temps là à retoucher ses textes pour aller dans le sens du bon vouloir de Jules Hetzel, Emile Zola lui a refusé de changer ne serait-ce qu’une virgule à ses textes !
Zola lui aussi pensait que les écrits se devaient d’être dépoussiérés.
la question en fait serait qu’est-ce qu’un "bon écrit". Un trucs bien torché et ennuyeux ?
Ou bien un texte qui comme le signale Marie Agnès sait faire passer de l’émotion (rire, pleure, colère, etc.) ?
Quant aux livres chez les éditeurs classiques, ils sont trop souvent le reflets de notre société marchande...
L’avenir pour les auteurs n’est plus à l’édition classique, nous sommes à l’ère du numérique... Je connais un auteur savoureux qui n’avait pas le temps d’attendre que les maisons d’éditions se décident, il est passé à l’auto édition presque totale ! Il ne donne que le massicotage et le collage à un professionnel. Et l’Express lui a consacré un article !
Marie Agnès vous dit qu’elle a été éditée, mais ne vous a pas précisé qu’elle mode d’édition elle avait choisi !
Je partage pleinement son point de vu ! S’il fallait s’arrêter à ce que l’intelligenzia littéraire nomme "les talent de l’écriture" nous en serions encore à rédiger nos plus belle oeuvre en latin !
Hors Rabelais a boulversé cet ordre des choses en affirmant qu’il ferait paraître combien le français pouvait produire d’aussi beaux écrits que le le latin ou le grc !
Il faut signaler que le français de Rabelais ne ressemble plus guère au français actuel. Ce qui prouve que notre langue évolue. mais alors pourquoi de tous temps devons nous croiser des "gens" qui se posent en gendarme du "BIEN ECRIT" ?
En outre le métier d’éditeur à réellement était inventé au 19èeme siècle, ce n’est rien qu’en fait qu’un intermédiaire qui déjà à l’époque de Jules Vernes n’avait qu’une idée en tête, faire du chiffre.
Si Jules Vernes a consenti en ce temps là à retoucher ses textes pour aller dans le sens du bon vouloir de Jules Hetzel, Emile Zola lui a refusé de changer ne serait-ce qu’une virgule à ses textes !
Zola lui aussi pensait que les écrits se devaient d’être dépoussiérés.
la question en fait serait qu’est-ce qu’un "bon écrit". Un trucs bien torché et ennuyeux ?
Ou bien un texte qui comme le signale Marie Agnès sait faire passer de l’émotion (rire, pleure, colère, etc.) ?
Quant aux livres chez les éditeurs classiques, ils sont trop souvent le reflets de notre société marchande...
L’avenir pour les auteurs n’est plus à l’édition classique, nous sommes à l’ère du numérique... Je connais un auteur savoureux qui n’avait pas le temps d’attendre que les maisons d’éditions se décident, il est passé à l’auto édition presque totale ! Il ne donne que le massicotage et le collage à un professionnel. Et l’Express lui a consacré un article !