Critique génétique et autofiction dans l’0Euvre de Col£tte

Par Stéphanie Micheau

Alors que ma thèse publiée porta sur l’Autofic(xa)tion dans l’0£uvre de Colette (Publibook 2008) , je me propose dans cet article d’étudier en quoi la génétique (qui est l’étude des avant-textes ; «  le wok in progress » en quelque sorte : l’étude du texte en devenir) permet de renforcer l’idée-force que j’ai défendue, bec et 0ngle, dans 2 l’Autofiction dans l’0£uvre de Colette à sav°ir que , contrairement à une idée reçue, l’œuvre de Colette ne progresse pas, ne progresse pas par étapes vers un pic autobiographique d0nt la trilogie Colettienne (La Maison de Claudine, La Naissance du Jour et Sido ¤) formerait le sommet mais qu’@contraRio, toute son œuvre s’inscrit dans un processus autofictionnel.

A savoir que cet article constitue la mouture d’une communication que j’avais donnée dans le cadre de la thématique générale portant sur La Génétique et l’autofiction, journée organisée à l’ENS (£cole Normale Supérieure de Paris) en mars 2011, qui, comme l’ensemble des interventions de cette journée d’études, n’avaient pas trouvé, en dernier ressort, t publication : c’était d’ailleurs dans les réserves de l’appel @communications . C’est en ce sens que je me fais une joie de pouvoir

proposer présentement cet article sur les marges de l’écriture en inédit les marches de l’écriture en inédit

à mon groupe de recherche l’URLDC auquel M. Mustapha Trabeli a eu l’heureuse initiative de la cré-action ; en me faisant l’honneur et l’amitié de m’y affilier depuis… décembre 2011 :~ : ;.. ;